A l’école, l‘écriture, le français en général, j’ai toujours aimé.
Est-ce que parce les maths m’ont toujours donné des sueurs froides ?
Je ne connais toujours pas mes tables de multiplications…
Au lycée, ce goût s’est confirmé. Racine, Giono, Stendhal, j’enchaînais avec passion l’apprentissage.
J’ai hésité avec les langues pour l’Université mais fallait voyager. Et à l’époque, ça ne me motivait pas exactement (comme quoi … )
J’ai poursuivi donc en Lettres Modernes, avec absolument aucun objectif professionnel en vue. Juste le kiff.
C’était sans compter qu’il fallait apprendre le latin et que si aujourd’hui je sais qu’on peut traduire en latin « l’autoradio de César », à part me faire rire, ça n’a été utile en rien.